Plusieurs choses : un petit souci avec le sommaire (yavait des liens daubés).
1) J'ai pas trouvé le "data storytelling" très pertinent. Non pas ton choix d'en parler, mais le côté "révolutionnaire". Ya rien de neuf : on prend toujours soin de concevoir sa présentation en montagne quand on veut que les gens captent. Le principe de : problématique + péripéties + solutions + effet mario... c'est instinctif. Vraiment, j'ai trouvé que c'était très bullshit.
2) Pour répondre à ta question de te poser des questions : je n'en ai pas.
3) Je n'ai AUCUNE idée de ton side project ^^'
4) Pour répondre sur la parentalité, j'ai survécu. C'est tout ce que j'ai à dire. Ca a commencé à se décanter vers ses 4 ans vraiment (donc fin petite section, quoi) et là, c'est bon, ça devient gérable. Même si sa gastro de cette semaine m'a fait manquer de me faire me défenestrer.
J'aime beaucoup ta réflexion autour de la création de contenu. J'y vois presque une problématique philosophique et sociale de ce qui nous entoure à l'heure actuelle. Donc je suis (suivre) assidûment ta newsletter pour ça.
Même si je ne maîtrise pas toutes les thématiques que tu abordes, j'aime la découverte et le fait que tu prennes le temps de tout bien sourcer et d'amener le lecteur plus loin. Bon, pour être honnête, je grignote ton infolettre par petits bouts, parfois je saute même des parties qui ne me parlent pas beaucoup. En revanche, j'adore le "side project" et ton partage sur ce que provoque l'arrivé d'un enfant.
Perso, j'ai décidé de me lancer dans l'auto-entreprenariat après avoir accouché de mon 2e enfant (me demandez pas pourquoi, il n'y aura pas de réponse).
Avec un bébé sous le bras, un petit-grand pas encore scolarisé, me voilà-ti-pas plongée dans l'océan des merveilles de la rédaction web. Depuis, je cours après le temps. Le temps pour chacun, pour moi, pour mes projets, les projets communs, les projets familiaux tout en orchestrant le quotidien de manière à ce que tout le monde s'épanouisse. Et quand nous y arrivons (big up à mon mari, meilleur allié du monde), on prends le temps de ricaner sur ce qu'on croyait être "de la fatigue".
J'ai toujours trouvé que la première année de vie de nos bébés était la plus intense, celle qui bouleverse le plus et qui nous fait vaciller nos fondations. Après, ça s'apaise et la fatigue devient une compagne connue haha ! Et depuis que je suis devenue mère, il n'y a pas grand chose qui me fasse reculer dans ma vie pro (démarchage, refus, échec, etc.). Je ne sais pas si tu vois ce que je veux dire ?
De toute façon, je pense qu'il n'y a pas de "bon" moment pour se lancer, donc autant y aller franco avec deux marmots 😶
J'ai aussi l'impression de courir après le temps, même si j'ai vraisemblablement des efforts à faire pour mieux l'organiser. Et puis, quand j'en ai marre de courir après le temps, je me mets sur pause un moment, et je me contente d'être.
J'sais pas si ça va passer, je vois bien ton commentaire dans mes mails, mais pas sur Sub' 😶
1) J'veux bien que tu détailles ton feedback parce que ça m'intéresse du coup, "trop long" mais dans quelle mesure ? Qu'est-ce que tu sabrerais ? Qu'est-ce que tu conserverais ?
2) Idem, merci pour la remarque, j'avais pas forcément l'impression d'être négatif. Après bon, y'a une part de l'identité de la newsletter aussi là-dedans, on tire à boulets rouges sur certains trucs avec bonheur et sarcasme - on adhère ou pas 👀
Je viens d'écrire un long commentaire et j'ai fait une mauvaise manip, tout est à recommencer :D Merci pour la question des lecteurs, vous allez quand même relativement vite pour rédiger cette newsletter. Concernant l'ennui que vous ressentez dans votre activité de freelance, vous n'êtes pas le seul. Perso, par moment, je n'arrive même plus à écrire du tout, tellement ce qui m'est demandé est inintéressant, vu et revu sur le web. Ecrire pour les autres, c'est vraiment plombant, surtout quand on ne nous laisse pas d'initiative. Votre travail est en tout cas très utile et agréable à lire.
J'ai aussi des baisses de régime où ça devient compliqué de sortir quoi que ce soit. Pas trouvé d'autres solutions à l'heure actuelle que de faire une petite pause avant de réattaquer.
Oui, je ne vous pas d'autre alternative que de s'arrêter un peu. Le soucis, c'est que les clients ne comprennent pas cela et nous prennent souvent pour des machines à produire du contenu :D
J'acclame le travail de recherche et de restitution que tu fais. Ça m'est super utile, je te vois comme le mec qui déniche les infos importantes. En plus, je kiffe la forme que tu lui donne.
Ma question de lectrice : comment réalises-tu ta veille ? As-tu des outils dédiés ?
Et ma réponse de vieille qui a vu sa vie défiler aussi vite que le soleil dans Time trap depuis que n°1 est née : la transition a été violente. Je croyais que mon boulot (de chercheur à l'époque) était difficile, alors que c'était une promenade de santé en comparaison de ce qui m'attendait en "congé parental" (je pourrais buter le mec qui a inventé cette expression). Mais le bonheur ajouté de l'arrivée d'un enfant n'a pas de prix donc... profite bien de Choupinette !
Merci cheffe, je garde la question sous le coude 👀
Je crois qu'on pourrait disserter trois heures sur la notion de "congé parental" tellement c'est pas des congés ou des vacances. Les vacances, t'en aurais justement besoin au retour de tes "congés" 🤡
Très en phase avec ton édito. Tu connais Jeanne Bordeau ? Il y a plusieurs années, elle avait défini des typologies de storytelling de marque et l'une de ces typologies, c'était l'idée que chaque communication produite par la marque est un morceau du puzzle de son identité, que plus chaque morceau est cohérent avec les autres, plus on construit dans le temps une identité forte, qui résonne avec les gens. Pour moi, "créer du contenu" doit tendre à créer un morceau du puzzle (ou à remettre un coup de pinceau sur une pièce qui a perdu un peu de son lustre. Vive les métaphores filées). Si ça ne sert pas la "grande idée" fil rouge de la marque, c'est du remplissage.
Nop, j'avoue que je ne connaissais pas, mais merci pour la réf, son travail a l'air intéressant. On est effectivement pile dans ce cas de figure, à ceci près qu'on est dans un puzzle sans fin 😄
Plusieurs choses : un petit souci avec le sommaire (yavait des liens daubés).
1) J'ai pas trouvé le "data storytelling" très pertinent. Non pas ton choix d'en parler, mais le côté "révolutionnaire". Ya rien de neuf : on prend toujours soin de concevoir sa présentation en montagne quand on veut que les gens captent. Le principe de : problématique + péripéties + solutions + effet mario... c'est instinctif. Vraiment, j'ai trouvé que c'était très bullshit.
2) Pour répondre à ta question de te poser des questions : je n'en ai pas.
3) Je n'ai AUCUNE idée de ton side project ^^'
4) Pour répondre sur la parentalité, j'ai survécu. C'est tout ce que j'ai à dire. Ca a commencé à se décanter vers ses 4 ans vraiment (donc fin petite section, quoi) et là, c'est bon, ça devient gérable. Même si sa gastro de cette semaine m'a fait manquer de me faire me défenestrer.
Comme quoi.
Ah fuck. Tu te rappelles desquels ? Je vais checker.
Oui non, clairement cet article n'était pas fait pour toi, c'est plutôt à destination de non-sachants 😄
Sympa l'idée d'être une survivante à ses enfants, je pense qu'on peut en tirer une bonne histoire 😂
J'aime beaucoup ta réflexion autour de la création de contenu. J'y vois presque une problématique philosophique et sociale de ce qui nous entoure à l'heure actuelle. Donc je suis (suivre) assidûment ta newsletter pour ça.
Même si je ne maîtrise pas toutes les thématiques que tu abordes, j'aime la découverte et le fait que tu prennes le temps de tout bien sourcer et d'amener le lecteur plus loin. Bon, pour être honnête, je grignote ton infolettre par petits bouts, parfois je saute même des parties qui ne me parlent pas beaucoup. En revanche, j'adore le "side project" et ton partage sur ce que provoque l'arrivé d'un enfant.
Perso, j'ai décidé de me lancer dans l'auto-entreprenariat après avoir accouché de mon 2e enfant (me demandez pas pourquoi, il n'y aura pas de réponse).
Avec un bébé sous le bras, un petit-grand pas encore scolarisé, me voilà-ti-pas plongée dans l'océan des merveilles de la rédaction web. Depuis, je cours après le temps. Le temps pour chacun, pour moi, pour mes projets, les projets communs, les projets familiaux tout en orchestrant le quotidien de manière à ce que tout le monde s'épanouisse. Et quand nous y arrivons (big up à mon mari, meilleur allié du monde), on prends le temps de ricaner sur ce qu'on croyait être "de la fatigue".
J'ai toujours trouvé que la première année de vie de nos bébés était la plus intense, celle qui bouleverse le plus et qui nous fait vaciller nos fondations. Après, ça s'apaise et la fatigue devient une compagne connue haha ! Et depuis que je suis devenue mère, il n'y a pas grand chose qui me fasse reculer dans ma vie pro (démarchage, refus, échec, etc.). Je ne sais pas si tu vois ce que je veux dire ?
De toute façon, je pense qu'il n'y a pas de "bon" moment pour se lancer, donc autant y aller franco avec deux marmots 😶
J'ai aussi l'impression de courir après le temps, même si j'ai vraisemblablement des efforts à faire pour mieux l'organiser. Et puis, quand j'en ai marre de courir après le temps, je me mets sur pause un moment, et je me contente d'être.
J'sais pas si ça va passer, je vois bien ton commentaire dans mes mails, mais pas sur Sub' 😶
1) J'veux bien que tu détailles ton feedback parce que ça m'intéresse du coup, "trop long" mais dans quelle mesure ? Qu'est-ce que tu sabrerais ? Qu'est-ce que tu conserverais ?
2) Idem, merci pour la remarque, j'avais pas forcément l'impression d'être négatif. Après bon, y'a une part de l'identité de la newsletter aussi là-dedans, on tire à boulets rouges sur certains trucs avec bonheur et sarcasme - on adhère ou pas 👀
Je viens d'écrire un long commentaire et j'ai fait une mauvaise manip, tout est à recommencer :D Merci pour la question des lecteurs, vous allez quand même relativement vite pour rédiger cette newsletter. Concernant l'ennui que vous ressentez dans votre activité de freelance, vous n'êtes pas le seul. Perso, par moment, je n'arrive même plus à écrire du tout, tellement ce qui m'est demandé est inintéressant, vu et revu sur le web. Ecrire pour les autres, c'est vraiment plombant, surtout quand on ne nous laisse pas d'initiative. Votre travail est en tout cas très utile et agréable à lire.
J'ai aussi des baisses de régime où ça devient compliqué de sortir quoi que ce soit. Pas trouvé d'autres solutions à l'heure actuelle que de faire une petite pause avant de réattaquer.
Oui, je ne vous pas d'autre alternative que de s'arrêter un peu. Le soucis, c'est que les clients ne comprennent pas cela et nous prennent souvent pour des machines à produire du contenu :D
J'évite comme la peste de bosser avec ce genre de clients. Ils sont sclérosés dans une vision passéiste du contenu, y'a rien à en tirer.
En fait, ils n'y connaissent rien du tout :D
J'acclame le travail de recherche et de restitution que tu fais. Ça m'est super utile, je te vois comme le mec qui déniche les infos importantes. En plus, je kiffe la forme que tu lui donne.
Ma question de lectrice : comment réalises-tu ta veille ? As-tu des outils dédiés ?
Et ma réponse de vieille qui a vu sa vie défiler aussi vite que le soleil dans Time trap depuis que n°1 est née : la transition a été violente. Je croyais que mon boulot (de chercheur à l'époque) était difficile, alors que c'était une promenade de santé en comparaison de ce qui m'attendait en "congé parental" (je pourrais buter le mec qui a inventé cette expression). Mais le bonheur ajouté de l'arrivée d'un enfant n'a pas de prix donc... profite bien de Choupinette !
Merci cheffe, je garde la question sous le coude 👀
Je crois qu'on pourrait disserter trois heures sur la notion de "congé parental" tellement c'est pas des congés ou des vacances. Les vacances, t'en aurais justement besoin au retour de tes "congés" 🤡
J'en rêve... La solution que j'ai trouvé : aller bosser loin de la petite famille en woofing comme vacances de parent !
Ah ben oui tiens, c'est pas con.
Très en phase avec ton édito. Tu connais Jeanne Bordeau ? Il y a plusieurs années, elle avait défini des typologies de storytelling de marque et l'une de ces typologies, c'était l'idée que chaque communication produite par la marque est un morceau du puzzle de son identité, que plus chaque morceau est cohérent avec les autres, plus on construit dans le temps une identité forte, qui résonne avec les gens. Pour moi, "créer du contenu" doit tendre à créer un morceau du puzzle (ou à remettre un coup de pinceau sur une pièce qui a perdu un peu de son lustre. Vive les métaphores filées). Si ça ne sert pas la "grande idée" fil rouge de la marque, c'est du remplissage.
Nop, j'avoue que je ne connaissais pas, mais merci pour la réf, son travail a l'air intéressant. On est effectivement pile dans ce cas de figure, à ceci près qu'on est dans un puzzle sans fin 😄