20 Commentaires

Merci pour cette newsletter dense et variée. J'ai bien aimé l'article sur les émotions et la rédaction. Perso, je n'ai écrit que des contenus neutres jusqu'à présent, les clients ne se souciant pas de ce genre de détail. Et quand je relis certains de mes articles toujours en ligne, je les trouve plats et insipides. Quant à aller sur Mars, ce n'est pas aprés-demain la veille :D J'espère, en tout cas, que vous avez assez d'heures de sommeil maintenant. On voit que vous avez vraiment souffert, ce que je comprends tout à fait. Pour moi, le sommeil, c'est sacré. Mais bon, il y a des impératifs que l'on est obligé d'assumer.

Expand full comment

C'est vrai qu'en rédac' SEO pure et dure, la notion des émotions est rarement prise en compte. Dommage pourtant, les choses évoluent aussi de ce côté-là.

Expand full comment

J’ai du coup omis de présenter Peau d’âne version Ciné du comité. A l’époque de Pink TV, le talentueux mais méconnu Eric Gueho avait fait pire: il s’était mis sur le dos une infâme carpette qui traîne dans certains séjours et il se promenait dans les rues en disant « Je suis Peau de vache ». Et, dans son cake d’amour pour le prince, en lieu et place de bague, il mettait un gode (moi, j’aurais mis un cock-ring, mais en vrai cuir!).

Expand full comment

Première réaction: les outils divers et variés de méthodologie ne laissent pas de me rappeler les « cercles de qualité » en vogue quand j’avais ton âge. Au XVIIIeme siècle. Il est vrai que je suis en train de relire les Bridget Jones (spoil: un nouveau sort en 2025, Mad about the boy) où l’héroïne éponyme (classe ça!) semble passer un temps infini à coucher par écrit ce qu’elle va faire plutôt qu’à le faire.

Je rebondis également sur « Les articles fantômes, ou l'art de publier pour remplir du vide », intéressante thématique qui me concerne au plus haut point puisqu’une de mes tâches consiste en une veille. Et il est toujours amusant pour moi de constater à quel point les médias se copient les uns les autres. Au hasard de l’actualité, le triplement des jours de carence chez les fonctionnaires. Le fait d’être historien de formation et plus particulièrement versé dans l’historiographie me permet d’être assez à l’aise avec la hiérarchisation de l’information et d’indiquer SIGNALE à ce qui est important. Il peut arriver qu’on suive mes conseils.

Sur Fée Dodo, je me sens très Génie sans enfants. Quand je pense que je pourrais être grand-père (cet enfoire de Anthony Jorand m’appelle papy) et lutter pour ne pas devenir garde d’enfants gratos. En plus, c’est de plus en plus difficile de les tripoter en loucede (TW 3eme degré si d’aventure des âmes fragiles ou délatrices tombaient sur cette vanne).

Je clos un peu dans le même esprit: j’ai bien noté que tu as écrit « Si vous souhaitez développer en commentaire, je prends ! »

https://youtu.be/hzdBND_JkKU?si=-pG0pHr7ueB23Osn

Expand full comment

Ils peuvent pas laisser Bridget tranquille ? 🥲

Après, sans rire, la veille ça devient une discipline d'archéologue à part entière le truc, surtout quand tu dois filtrer le fond du flux constant de chaos médiatique et de copiés-collés à la con (et pas faux, savoir quoi signaler plutôt que quoi réciter, compétence sous-cotée).

(pas étonné plus que ça pour le tripotage d'enfants, je vais devoir faire un signalement au 119)

Expand full comment

En plus, on habite à côté d’une école primaire. Dans cette France profonde où on confond homosexualité et pédophilie (ils doivent en être restés au terme de péderaste), tu peux imaginer la distance maximale respectée à l’égard des mioches. J’en suis à ne pas aller dans le jardin pendant les récréations (ne parlons même pas de me baigner dans la piscine, d’autant plus que l’été, il m’arrive de le faire à poil!).

Pour Bridget, c’est la classique exploitation du filon. J’avais un prof de français très marrant en seconde (littéraire forcément), Monsieur Hocq, qui évoquait Le retour de Zorro, Le retour du fils de Zorro, etc.

Je ne me dresse pas des couronnes de lauriers. Il s’agit à mon sens d’une presque basique hiérarchisation de l’information. Il est vrai qu’à l’heure de l’infobesite et du buzz permanent, tu as raison de souligner que signaler est une compétence sous-cotée… pour autant que tu ne signales pas tout.

Souvenirs d’avoir connu, plus jeune, des dossiers administratifs épinglés TTU, soit Très Très Urgent, mais si tout l’est, plus rien ne l’est.

Expand full comment

Ils rêvent tous d'aller sur Mars, ces "génies", mais ils sont toujours ici. Qu'est-ce qu'ils attendent, pour qu'on en finisse ?

Expand full comment

On devrait p'têt leur donner un coup de pouce 😶

Expand full comment

Un coup de latte dans le derche, oui, qui les mettrait en orbite direct 🚀🔥

Expand full comment

Ça fait un sacré coup de latte. On peut aussi viser les testicouilles pour faire d'une pierre deux coups.

Expand full comment

Dire qu'ils ont fait plein de gosses...

Expand full comment

Toujours aussi cool. Tu sais ce que je pense de cette NL, donc mon vote ne te surprendra pas.

On sent que tu t'es fée plaisir sur la copy. J'aimerais ajouter qu'il y a un élément central dans l'émergence de cette marque : les parents sont seuls.

Ils n'ont plus leurs parents à proximité comme ça se faisait il y a deux générations (la gen X avait déjà en partie ce problème, mais seulement en partie. Tout le monde ne vivait pas encore à des km - voire des continents - de leurs parents. Il faut croire que la gen Y a vraiment mis les voiles*), mais en plus, la gen Y n'a plus de parents à la retraite ET/OU disposés à gérer les gosses.

J'entends énormément de collègues faire le retour que leurs parents (gen X, donc) ne VEULENT PAS garder les mômes et se plaignent de devoir le faire. Les mêmes X qui nous foutaient H24 chez nos propres grands-parents. (Les miens, d'ailleurs, travaillaient, pour info, ça n'empêchaient pas mes parents de m'y coller toutes les vacances, même si je devais me frapper la moitié de la France en avion ou voiture pour y aller. Notons que ma mère ne travaillait pas. DONC PAIE TON BESOIN.)

Moi, j'ai entendu le récit de ma mère, qui a été accompagnée par la sienne pendant la grossesse et l'accouchement, puis après pour me garder pour qu'elle puisse se reposer, bla bla bla.

Moi j'ai vu la mienne une fois (quand je suis sortie de la mater, parce qu'elle avait autre chose à faire avant de très important (sic, oui oui)), et elle a tenu mon fils dans les mains en lui disant d'un air niais qu'elle ne le garderait jamais, parce qu'elle a déjà donné (sic, again). Ca fait 5 ans que j'ai pas de nouvelles. (note que quand je lui avais dit que je ne voulais pas de gosses ya dix ans, elle m'avait rep que c'était dommage, elle voulait être grand-mère). BREF. Je raconte ma vie, mais c'est un récit que j'ai beaucoup, beaucoup BEAUCOUP entendu de la part d'amies, etc.

Notre génération est seule. Nos parents sont souvent démissionnaires et égocentrés (gen X poweeeer), et on se retrouve comme des glands à n'avoir personne pour nous dire "attends, va dormir, je garde la progéniture 2h avant que tu ne l'étripes.").

Et CA, c'est ce à quoi répond "fée-dodo". Dans les contes, qui est la fée ? La marraine. Elle est tout le temps celle qui va palier les manquements parentaux (absence, abus, etc.) c'est le cas dans Cendrillon, Peau d'Anne, la Belle au bois dormant... et dans une certaine mesure le Chat Beauté (le chat faisant cet office, car il pallie le manquement du père en matière de sécurité financière et affective envers le dernier fils. Qui est d'ailleurs le préféré, mais bref, pas le temps d'en faire une analyse.).

Tl;dr : ils ne communiquent pas dessus, parce que ça créerait du conflit avec les familles (on sait à quel point les X en plus détestent être mis le nez dans leur caca), mais c'est la narration sous-jacente de la marque. Et c'est pour ça que c'est fort.

Voilà, pardon d'en avoir mis un peu partout.

(Et pas besoin de me citer, eh. On dirait moi à croire qu'il faut tout le temps que je rende à César, sinon, je vole, bla bla)

(T'as changé ta DA ? Pourquoi ?)

Expand full comment

Mes deux centimes également : autant mes parents sont présents (et ma mère très volontaire, faut dire qu'elle est nounou, déformation pro ?), autant je reconnais bien ta mère dans celle de ma compagne 🤡

Mêmes remarques en fait, "j'ai assez donné", "pas question que je la garde", etc. Bon, sur le "j'ai assez donné", je suis enclin à la croire, elle s'est retrouvée maman solo très rapidement après un divorce houleux.

Mais oui, les parents d'aujourd'hui sont esseulés, et c'est un phénomène récent à l'échelle de l'histoire de l'humanité. L'Homme n'est vraisemblablement pas câblé pour élever un enfant en solo / duo. Comme tu le dis, les familles étaient étendues et les responsabilités éducatives partagées, on vivait souvent sous le même toit ou dans des communautés proches (tout était à l'échelle d'un bled), donc prise en charge collective des gamins.

Il me semble que c'est avec l'industrialisation que ça a commencé à péter. Et t'ajoute à ça effectivement les divorces + la mobilité géographique et tu renforces davantage ce sentiment d'isolement.

Expand full comment

"L'Homme n'est vraisemblablement pas câblé pour élever un enfant en solo / duo." Tu connais l'adage "Il faut tout un village pour élever un enfant." J'ajoute à ce que tu dis qu'il y a aussi l'idée que l'enfant est un produit de consommation comme un autre. C'est un choix personnel et il paraît qu'il ne doit pas empiéter sur le bien-être des autres.

Ma grand-mère n'arrêtait pas de me dire à Noël dernier "laisse, tu sais que c'est un enfant et que c'est normal qu'à 4 ans il en ait marre d'être assis des heures ?" Des choses que j'ai pas appris moi quand j'étais gosse (où l'enfant devait refléter le standing familial - on m'amenait au musée à 2 ans...) et que je ne vois pas non plus chez beaucoup de gens. Un gamin craque dans le train ? Oh la la, qu'il est mal élevé. Ben non, il en a plein le cul du trajet, c'est tout.

Je suis stupéfaite de voir que, malgré le fait que l'enfant ait acquis un statut juridique, etc. Il ne soit pourtant plus du tout compris et qu'il se retrouve à "déranger". Pourtant, j'aime pas trop les enfants moi-même, suis mal à l'aise souvent et n'en voulais pas. Mais ça reste des humains avec des émotions, etc. Or, on les traite mine de rien beaucoup comme des objets à pimper. C'est trop bizarre.

(et désolée pour ta femme, elle a dû galérer en plus à trouver sa maternité avec un tel héritage...)

Expand full comment

Ah oui, j'avais mis un astérisque à "mettre les voiles" : j'allais dire "on sait très bien pourquoi. On n'est pas une génération de dépressifs anxieux et j'en passe pour rien. Quand tu fais un tour sur twitter à lire "les dingueries des parents", tu vois bien qu'il y a eu un vrai souci avec l'éducation que la gen X a donné. Eux sont issus de l'enfant roi (pour le coup, Dolto, mai 68, etc.) et ils ont eu beaucoup de mal avec la frustration... et l'ont pour beaucoup exprimée à coups [de violence physique, verbale, psychologique]. Donc, je ne suis pas étonnée de voir autant de gen Y mettre des heures entre eux et leurs ascendants...

Expand full comment

Je suis une X, volontairement sans enfant. J'ai très tôt compris que c'était perpète et j'ai dit NON dès le départ (ado) à un truc qui ne m'intéressait de toute façon pas. J'ai ZERO regret. Ma mère non plus : on fait plein de trucs d'adultes ensemble. Et je me réjouis de voir qu'il y a une vraie discussion aujourd'hui sur le choix de devenir parent (le plus important de toute notre vie), que ce n'est pas automatique, et que toute une forêt de sujets passionnants pousse sur ce terreau.

Mais je constate moi aussi que ma génération n'a pas su éduquer ses enfants. Je n'ai pas de conseil à donner. Je n'aurais certainement pas fait mieux si j'en avais eu, mais je vis dans la même société et je vois.

La chose sur laquelle je suis en désaccord, c'est que les X auraient été élevés en enfants-rois. Dolto était loin d'être populaire dans la classe moyenne dans les années 70 & 80, c'était un truc d'intello mal connu du plus grand nombre, ou raillé. On a été éduqués par des gens qui sont nés durant et après-guerre, marqués par des choses violentes (les années 50 et 60 n'ont pas été si faciles, voir les bouquins d'Annie Ernaux) qui se transmettent involontairement si on n'y prend pas garde, mais pour ça il faut avoir conscience de cette violence, et ça, c'est récent. Selon les familles, c'était encore plus ou moins la schlague (Plutôt plus que moins, j'en ai souvent été témoin) et les parents disaient qu'on l'avait belle, nous (ben oui, pas de guerre et ses horreurs). Mai 68 était aussi souvent sujet à railleries caricaturales, souvent mal compris, les femmes en prenaient plein la gueule. Le discours dominant, c'était "pas de ça chez moi : tu fais ce qu'on te dit et c'est tout. T'es puni à l'école ? Ici aussi, t'avais qu'à mieux te tenir". Les grands devaient contribuer à l'éducation de leurs frères et sœurs : des enfants qui n'avaient rien voulu du tout, ils ne les avaient pas faits, ces autres petits mioches. Je crois d'ailleurs que c'est pour tout ça qu'ils ont voulu donner une éducation moins rigide à leurs enfants, parce qu'ils en ont soi souffert, soi qu'ils ont reconnu qu'elle avait aussi des bons côtés, mais qu'ils n'ont plus voulu subir la frustration qu'elle leur a imposé dans tous les cas. Qui se manifeste par exemple par une absence face à la charge de leurs petits-enfants. Donc oui, vous avez raison sur ce point, il y a bien un sujet de frustration à gérer dans l'affaire.

Je dois d'ailleurs dire que je suis curieuse de voir comment mes amis vont se transformer en grands-parents...

"Je voudrais être grand-mère/père" est l'un des trucs qui m'insupporte le plus. On dit ça pour rien, en prétendant ne pas se rendre compte de la réalité derrière, ou si, sans dire "c'est ton tour d'en ch* pour me faire plaisir et tu me le dois" (non), et tiens, prends ta petite baffe de pression derrière le crâne. Ca me rend dingue. J'ai juste envie de dire "tais-toi et vis ta vie de prince.sse retraité.e : c'est pas toi qui va (re)vivre les problèmes quotidiens et je fais pas des gosses pour satisfaire tes envies de petits bisous. Prends un chien, câline-le et fiche-moi la paix."

Désolée, ça ne vous aide pas avec la garde ou la solitude des parents, j'en suis bien consciente. Je me permets de tout dire ça ici parce que vous dites que les enfants, c'est pas trop votre truc. Et que j'entends tout ce que vous dites : ça résonne avec mon expérience, même si c'est en négatif.

Expand full comment

J'aurais très peu de temps pour répondre, mais merci beaucoup pour votre commentaire détaillé.

Vous avez raison sur la nuance éducationnelle, car c'était effectivement des délires de bourgeois (et souvent de parents eux-mêmes à l'époque maltraités qui ont voulu changer la donne. Enfin, je le soupçonne entre ma GM maternelle et ma mère - chose que je n'ai pas reproduis par la suite. Enfant maltraitée - avec les phrases que vous exprimez, d'ailleurs, je n'ai pas pour autant pris l'autoroute du Montessori à penser qu'il ne faut jamais dire non pour ne pas frustrer l'enfant. J'ai (on) essayé de trouver une sorte d'équilibre entre réalisme et bienveillance. Fin de l'énorme parenthèse.).

Mais ces délires infusaient peu à peu dans la culture sociétale au niveau médiatique. C'était "officiellement" comme ça qu'il fallait essayer de faire (enfin, il me semble de ce que j'ai pu revoir d'archives, attention).

Plus haut, j'évoquais le fait que l'enfant était devenu un produit (là où il avait pu devenir un consommateur "interposé" dans les couches bourgeoises dès le 19e siècle - je parle des débuts de vente de meubles, jouets and co pour les enfants) dès lorsqu'il a pu être choisi.

Attention, entendons-nous bien : je ne nie absolument pas l'énorme nécessité de la contraction et de l'avortement. J'explore ce que cela a pu apporter comme changement de paradigme (sans aucune donnée sociale ou anthropologique, donc c'est une opinion tout à fait humble). Mais l'enfant est un choix, désormais (sauf petite surprise à 3 mois de déni quand tu es persuadée d'être presque stérile x'D), et, à ce titre, il est la propriété des parents. Pour le coup, ça a vraiment commencé avec la gen X (car les acquis datent de la gen d'avant), qui a pu vraiment avoir l'opportunité de voir l'enfant comme un choix, comme une consommation d'un modèle familial voulu.

C'est là que le "choix du roi" (j'ai horreur de cette expression !) a vu le jour avec le fameux duo "garçon-fille" espéré et cliché très emprunt, par ailleurs, d'un imaginaire publicitaire américain des années 40-50 (l'oeuf, la poule...)

Et je pense que cette génération (ultra consommatrice au demeurant, y compris - et surtout - de créatures fragiles sur lesquelles ils pouvaient exercer leur pouvoir narcissique comme les animaux, les gosses et les vieux) a provoqué une série de traumas durables qui n'a rien à envier aux vieilles trempes que se prenaient nos aînés. A dire vrai, nous étions nombreux à se faire plus ou moins dérouiller, même sans martinet (car, heureusement, il commençait à disparaître !), avec des techniques parfois plus vicieuses.

Je coupe, je manque de temps. Merci encore, c'est intéressant de pouvoir en discuter comme ça :D

Expand full comment

Et je rebondis encore sur l'enfant-produit, on a quand même une tendance à traiter les galopins non plus comme une personne avec son propre développement naturel, mais comme un projet de vie sur lequel les parents essaient de refléter leurs propres idéaux / accomplissements (je plaide aussi un peu coupable là-dessus même si j'y travaille, d'autant que Chucky est le fruit d'une PMA), bref ça peut générer une pression insidieuse.

Attentes de réussite, de conformité, de perfection, ça devient quand même de sacrées contraintes pour les gosses (d'autant plus quand Jean-Kevin incarne en partie l'accomplissement d'un modèle familial rêvé ou la projection d'un équilibre familial supposé).

Expand full comment

Clairement ! Les "beige mom" en sont un bel exemple à la mode, d'ailleurs.

J'ai clairement projeté mes insécurités sur le petit, en mode "je ne veux pas qu'il se sente abandonné", résultat, il était H24 avec moi la première année, au point tel qu'on ne se supportait plus. Quand je l'ai posé à la garderie à un an pour la première fois, il m'a répété trois fois "Aurevoir maman" pour que je me casse ^^'.

Expand full comment

Je me rends compte que j'ai écrit "Peau d'Anne". La pauvre.

Expand full comment